Trois ans après son élection, João Lourenço, «l’homme du changement», peine à convaincre. En 2020, l’Angola a enregistré sa cinquième année consécutive de récession.
La pression qui pèse sur les épaules du président angolais, João Lourenço, ne va pas en diminuant. Alors qu’il ne lui reste plus que deux ans avant les prochaines élections générales, en 2022, le successeur de José Eduardo dos Santos, élu en 2017 sur la promesse d’être l’homme du changement, peine à convaincre.
À sa décharge, il d...